Les cabines photo Foto Automat, retour aux sources
Que propose Foto Automat ? Tout le monde connait les cabines photomaton. On en trouve des classiques, parfois customisées pour des événements/sorties de films… ces cabines photo sortent surtout des photos “normalisées” pour les documents officiels, vous laissent le choix de la photo à imprimer, etc. On est bien loin des premières cabines dans lesquelles on se prenait un bon coup de flash – ou plutôt 4 d’ailleurs) – et on attendait “un certain temps avant d’avoir nos 4 photos avec un procédé argentique…
Et voilà que Foto Automat s’est mis dans l’idée – il y a maintenant quelques années – de retaper des vieilles cabines pour proposer des tirages argentiques … le tout dans une cabine photo d’un style unique ! Quand je dis unique, regardez par exemple cette photocabine qui semble encore dans leur atelier.
On en trouve aussi d’autres modèles, tout autant sortis d’un autre temps. J’apprécie en particulier le style de la cabine numéro 9 qui me fait clairement penser au style du premier icone d’Instagram. Certainement l’effet du placage “bois”.
Bon, c’est vrai, ce n’est pas une découverte pour tous. Focus numérique a écrit un article sur Foto Automat il y a plus d’un an. Disons que j’écris ces lignes pour ceux qui l’on raté 😉 Encore plus surprenant ? La société semble être à Marseille … il a fallu que je quitte la région d’Aix/Marseille pour Toulouse pour les découvrir !
Si vous voulez les voir ces cabines et vous faire tirer un portrait – 3€ les 4 photos, c’est donné – vous pouvez trouver sur leur site la liste des cabines photos “permanentes” : http://fotoautomat.fr/trouvernoscabines/ . Si c’est trop loin pour vous, tentez votre chance sur leur page facebook – celle pour la France – il y a aussi une liste de lieux éphémères. Il est aussi possible de les louer pour un événement ou de monter un projet avec eux. Tout est sur leur site !
Bon et si tout ça ne vous parle pas et que vous préférez rester chez vous, voilà un petit logiciel pour tirer vos photos d’identité … mais, avouez le, c’est quand même pas fun du tout…